Méthodologie de cette étude sur la pollution

Pour cette étude sur la pollution atmosphérique, les chercheurs britanniques ont analysé un échantillon représentatif de la population nationale de 34,000 personnes éparpillées dans 318 zones géographiques anglaises. Les scientifiques ont recueilli des informations sur la qualité de l'air pour chacune des régions.

Les scientifiques ont analysé la mémoire des participants

Les participants ont dû mémoriser 10 mots sous forme de test standardisé. Ils ont été notés de zéro à dix dépendant de leurs réponses. Parmi les autres facteurs qui peuvent jouer sur la mémoire, les chercheurs ont considéré l'âge, la santé, le niveau d'éducation, l'ethnicité ainsi que l'emploi.

La pollution atmosphérique au coeur d'une étude © olando_o / IStock.com

Les éléments phares de cette étude scientifique

Les enquêteurs ont notamment étudié les niveaux de dioxyde d'azote (NO2) et de particules fines (PM10), ainsi que de toutes petites poussières d'un diamètre de 10 micromètres ou moins. À noter que le NO2 et les PM10 sont des produits des combustibles fossiles émanant de véhicules et de l'industrie.

Quels sont les résultats de cette analyse sur la pollution ?

Les conclusions de l'étude ont montré que les individus vivant dans les zones qui concentraient de forts taux de pollution affichaient des scores inférieurs à ceux qui résidaient dans les endroits les moins pollués d'Angleterre. Ces lieux incluent la côte ouest, dans le Devon et West Somerset.