Pour en arriver à cette conclusion, Lenny Vartanian (de l'école de psychologie de l'Université de New South Wales - UNSW), auteur de l'étude, et ses collègues, ont pris en considération 38 rapports. Il semblerait ainsi que le phénomène de modélisation sociale, un ressort psychologique, pousserait une personne à manger moins si son compagnon a un appétit d'oiseau. Évidemment, cela a un rapport direct sur le poids et les habitudes alimentaires de la personne.

D'autre part, l'étude indique que la modélisation sociale affecte les habitudes alimentaires tout le monde. Néanmoins, les femmes seraient plus sensibles au phénomène par rapport aux hommes. En effet, selon l'étude, les dames accorderaient plus d'importance à la façon dont les autres voient leurs habitudes alimentaires, comparées aux hommes.

Étude : lien entre les habitudes alimentaires et le poids

Ce n'est pas tout ! L'étude va plus loin et démontre que ce phénomène se produit même si le partenaire n'est pas à table. Par exemple, la personne qui lit la carte des menus aurait aussi tendance à adapter sa commande aux habitudes alimentaires de son partenaire s'il était présent.

Ainsi, l'étude publiée dans la revue Social Influence démontre que les facteurs sociaux jouent un grand rôle quand il s'agit des habitudes alimentaires et du poids. Faudrait-il donc changer d'amis pour perdre des kilos ?

Site officiel de l'UNSW (en anglais)

Crédit : ©AFPRELAXNEWS

Fautes de frappe : poid, piods, etud, etued