Vingt six. C'est le nombre de jours de dépassement des seuils de pollution atmosphérique autorisés par Bruxelles, que compte désormais l'Ile de France depuis maintenant 3 mois.

Désormais, les alertes récurrentes doivent s'accompagner d'actes concrets : des solutions existent. Parmi elles, le carburant Gaz Naturel est une vraie réponse aux problématiques actuellement rencontrées : il n'émet aucune particule fine.

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Charlotte Hubert, présidente de GNVERT, s'exprimait à ce sujet : « À l'occasion de la Semaine du Développement Durable, il est important de rappeler que des alternatives au diesel et à l'essence sont déjà opérationnelles, et leur donner les moyens de se développer. Parmi ces alternatives : le carburant Gaz Naturel, qui n'émet aucune particule fine. Son utilisation permet de préserver la qualité de l'air quel que soit le trafic. C'est un gage de protection de la santé publique, notamment dans les grandes agglomérations très touchées par les fréquents pics de pollution ».

Le carburant Gaz Naturel réduit de 100% les émissions de particules fines

En effet, le gaz naturel est LE carburant de substitution idéal pour les véhicules urbains lourds (poids lourds, bus, bennes à ordures) ou parcourant plus de 100 kilomètres par jour.

Majoritairement composé de méthane, le carburant gaz naturel est un carburant durable qui n'émet aucune particule fine, réduit de 80% les émissions d'oxydes d'azote et jusqu'à 25% les émissions de CO2.

Ses principaux atouts sont :

·         aucune particule fine émise, principales causes des maladies respiratoires contractées en ville

·         jusqu'à 100 % de réduction des émissions de CO2 pour le bioGNV, et jusqu'à 25 % de réduction des émissions de CO2 pour le GNV par rapport à un moteur essence et jusqu'à 5 % par rapport au diesel

·         jusqu'à 80 % de réduction des émissions d'oxydes d'azote par rapport à un véhicule équivalent à essence

·         jusqu'à 90 % d'ozone en moins (ozone proche du sol)

·         jusqu'à 50% de réduction du bruit en raison de sa combustion lente (par rapport à un véhicule diesel)

·         inodore

·         ne dégage aucune fumée noire

Il divise par deux les émissions sonores des moteurs et atténue les vibrations à tous les régimes de fonctionnement. Son utilisation permet d'anticiper, avec un spectre de mobilité large, les restrictions de circulation liées au bruit et à la pollution que plusieurs villes européennes ont dores et déjà adoptées, et constitue la réponse la mieux adaptée aux ZAPA (Zones d'Action Prioritaires pour l'Air) qui vont être mises en place cette année dans 8 agglomérations pilotes en France, peut on lire dans un communiqué de presse.

La moitié des villes de plus de 200 000 habitants l'ont adopté pour au moins une partie de leur flotte de bus. GNVERT fournit des solutions Gaz Naturel carburant  chaque jour pour plus de 2300 bus (près de 15 % du parc français) et plusieurs centaines de véhicules de propreté urbaine (près de 14 % du parc) à Strasbourg, Lille, Toulouse, Nantes.

Pour exemple, en juin 2010, c'est Quimper-Communauté qui avait reconduit le choix du GNV et de GNVERT, avec un doublement prévu de sa flotte urbaine d'ici 2015. Plus récemment, en mars 2012, Chambéry Métropole a renouvelé son choix du GNV comme solution de mobilité durable pour ses bus jusqu'en 2015.

« Le carburant Gaz Naturel répond pleinement à la volonté des collectivités locales, des élus et de nombreux acteurs du transport de construire une politique de développement durable, respectueuse de l'environnement et de la santé publique. GNVERT les accompagne dans le choix d'une mobilité durable dont la maîtrise technique et le bilan environnemental sont avérés depuis près de 15 ans. Pour les entreprises privées comme les collectivités, les atouts économiques et écologiques du GNV en font une réponse adaptée aux contraintes réglementaires liées à l'environnement » explique Charlotte Hubert, dans un communiqué de presse.