Les chercheurs ont reconnu que leur étude était limitée, dans la mesure où l'expérience avait été réalisée à petite échelle et pouvait ne pas s'appliquer à tous les bars.

Il avait déjà été prouvé auparavant que le rythme de la musique avait une influence sur la rapidité à laquelle l'alcool est consommé. Mais c'est la première fois qu'une étude étudie les effets du volume sur la consommation d'alcool.

Deux hypothèses pourraient expliquer ce comportement.

D'abord, les volumes sonores élevés pourraient entraîner une stimulation plus importante, qui inciterait les sujets à boire plus rapidement et à commander davantage.

Par ailleurs, la musique forte pourrait avoir des effets négatifs sur les échanges sociaux dans le bar, et donc les clients boiraient davantage parce qu'ils parleraient moins.