Les parlementaires anglais votent aujourd'hui sur de vastes changements des lois britanniques sur la recherche en matière de fertilité.

Des propositions très controversées, qui autorisent les scientifiques a créé des embryons hybrides humains-animal, sont incluses.

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Le premier ministre Gordon Brown a appelé pour un soutien explicite des mesures qui aident à créer des cellules souches pour trouver des traitements à la maladie de Parkinson et de sclérose.

Les scientifiques indiquent qu'ils ont besoin d'être capable de faire des hybrides, de créer en transférant le nucléus d'une cellule humaine dans une cellule animale vide, à cause du manque de donation d'ovules humaines.

Des groupes religieux condamnent la proposition et les parlementaires ont soumis un amendement bannissant la technique.Gordon Brown a donné aux parlementaires une libre « conscience » de vote du problème et concernant 2 autres mesures.

La première concernant le développement par FIV (fécondation in-vitro) d'un embryon pour soigner un enfant malade. Et la deuxième mesure facilitant la FIV pour les couples de lesbiennes.

Mardi, un second vote concernera les amendements des législateurs anti-avortement de réduire la limite légale d'avortement à 16 semaines plutôt que les 24 semaines actuelles.

Le Royaume-Uni est un des pays leaders en matière de recherche sur les cellules souches, il attire des scientifiques du monde entier avec un environnement permissif qui permet des études sur les embryons sans directive stricte.

Plus tôt dans l'année, la Chambre des Lords a rejeté la tentative d'inclure l'interdiction de recherche sur les hybrides dans la loi préparatoire